Catégories
Art de vivre

Êtes-vous pris dans un labyrinthe ?

Vous arrive-t-il d’avoir le sentiment d’être pris dans un labyrinthe?  De tourner en rond?  D’essayer de nouvelles choses et de revenir au point de départ? De ne pas savoir où aller, quelle direction prendre, ni quels choix faire?

De vous frapper le nez aux murs du labyrinthe sans en trouver l’issue? De ne pas savoir qui vous êtes, ce qui vous anime, ce que vous aimez profondément, ce que vous voulez faire de votre vie?

« Ah ce maudit labyrinthe!

Quand j’y suis entrée, j’étais toute confiante d’en sortir rapidement.

Je suis intelligente après tout.

J’ai une grande capacité d’orientation.

J’aime résoudre les énigmes.

J’adore les défis.

Mais là, ça n’a vraiment pas de sens.

Déjà plus de 3 heures que je tourne en rond

Que je me bute à des murs.

Que j’emprunte des corridors que j’ai déjà pris tout à l’heure, à des bouts de chemins sans issues.

J’essaie d’en rire, mais ce sont plutôt les larmes qui me montent aux yeux.

Des larmes de colère, de frustration et de découragement.

À chacun de mes pas, mon souffle est court et mon cœur bat la chamade.

Il n’y a rien à faire.

Plus je tourne en rond, plus le sentiment de panique et d’angoisse m’envahit

Je le reconnais à la présence de picotement dans mes avant-bras.

J’essaie de garder la tête froide, mais JE NE PEUX PAS!

Surtout depuis que je suis toute seule.

J’ai perdu la notion du temps.

J’ai peur d’être seule.

Peur de passer la nuit dans cet endroit sombre, humide et lugubre qui me donne les frissons.

Juste à y penser, je m’effondre le long d’un mur et j’éclate en sanglots. »

Si vous avez fait l’expérience du labyrinthe de la vie, avez-vous réussi à suivre votre voie rapidement? Ou au contraire, vous avez eu besoin de plusieurs essais? Est-ce que, tout comme dans mon exemple, la confiance de réussir facilement est présente au début pour être rapidement remplacée par les doutes et l’inconfort à la rencontre de difficultés ou d’épreuves?

Lorsque les essais se répètent ou sont non-concluants, la patience laisse place au découragement.  Il devient souvent plus facile de demeurer dans une soi-disant zone de confort.  Et ce, même si plusieurs me disent que ce n’est pas si confortable que ça.  En demeurant dans une zone de confort, la peur s’installe.  Peur de ne pas réussir, peur de ne pas être à la hauteur, peur de rester coincé, peur de vivre un sentiment de panique, peur de ce que les autres vont penser de nous, peur de déplaire etc, etc.  Et avec ces peurs, il y a plus de chance de faire du surplace.

Personnellement, je suis touchée d’entendre des personnes que je croise ou que j’accompagne me dire « je ne sais même pas ce que j’aime, je ne sais pas qui je suis, je ne sais pas ce que je désire dans la vie. »

C’est donc avec plaisir que je vous propose l’atelier : Apaiser l’âme en paix. Du 6 au 8 novembre, au Spa Eastman, un atelier qui propose un retour vers soi pour  Transformer – Avancer – Se libérer – Grandir – Vivre.  Car c’est à partir de nos sens que se vit un deuil, quel qu’il soit.  Le deuil d’un être cher, le deuil d’un rêve ou d’un projet, le deuil d’une relation ou d’une amitié ainsi que toutes autres formes de deuil.